Journaliste au sein de la rédaction de Front Populaire

Diplômé de l'EHESS (École des hautes études en sciences sociales) et de l'<a href="https://www.ege.fr/" target="_blank">École de guerre économique</a> (EGE), Pierre-Yves Rougeryon est politologue, éditeur, et spécialiste en intelligence économique. Il est le fondateur en 2008 du Cercle Aristote, un cercle de réflexion souverainiste tourné vers l'éducation populaire. En tant que président de cette association, Pierre-Yves Rougeyron organise des conférences hebdomadaires avec des intellectuels, des colloques et publie des ouvrages via sa maison d’édition, Perspectives Libres, ainsi qu’une revue éponyme. Ces activités couvrent des thèmes variés&nbsp: politique, géopolitique, économie, histoire ou encore culture. Comme Front Populaire, le Cercle Aristote se revendique transpartisan, cherchant à rassembler les souverainistes de divers horizons, et s’inspire de la maxime de Charles Péguy, «&nbspTout ce qui élève unit&nbsp».&nbsp;

Diplômé de l'EHESS (École des hautes études en sciences sociales) et de l'École de guerre économique (EGE), Pierre-Yves Rougeryon est politologue, éditeur, et spécialiste en intelligence économique. Il est le fondateur en 2008 du Cercle Aristote, un cercle de réflexion souverainiste tourné vers l'éducation populaire. En tant que président de cette association, Pierre-Yves Rougeyron organise des conférences hebdomadaires avec des intellectuels, des colloques et publie des ouvrages via sa maison d’édition, Perspectives Libres, ainsi qu’une revue éponyme. Ces activités couvrent des thèmes variés : politique, géopolitique, économie, histoire ou encore culture. Comme Front Populaire, le Cercle Aristote se revendique transpartisan, cherchant à rassembler les souverainistes de divers horizons, et s’inspire de la maxime de Charles Péguy, « Tout ce qui élève unit ». 

Le 30 octobre, le Rassemblement national parvient à obtenir une majorité sur son texte visant à dénoncer l'accord franco-algérien de 1968. Un succès de façade, à la portée essentiellement symbolique. Et pour cause, il esquive le principal obstacle politique&nbsp: le récif du droit européen. Pour Pierre-Yves Rougeyron, président du Cercle Aristote, la fuite est devenue la stratégie par défaut du Rassemblement national quand il est question de l'Union européenne. Pour des raisons politiciennes avant tout.

Le 30 octobre, le Rassemblement national parvient à obtenir une majorité sur son texte visant à dénoncer l'accord franco-algérien de 1968. Un succès de façade, à la portée essentiellement symbolique. Et pour cause, il esquive le principal obstacle politique : le récif du droit européen. Pour Pierre-Yves Rougeyron, président du Cercle Aristote, la fuite est devenue la stratégie par défaut du Rassemblement national quand il est question de l'Union européenne. Pour des raisons politiciennes avant tout.

Pourquoi le Rassemblement national esquive-t-il la question européenne ? – entretien avec Pierre-Yves Rougeyron

Michel ONFRAY

FP+

Michel ONFRAY

Vous aimerez aussi

La Rédaction

François-Xavier Roucaut

La Rédaction

L’actualité vue par les souverainistes